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Novembre 2001:
Plant de pépinière, travail de formation démarré en septembre 2001 (club des amis des bonsais). La mise en forme se poursuivra au rempotage courant février. |
Mars 2002
le voici après son premier rempotage, et une nouvelle taille de la partie aérienne et des racines (il avait un pivot et une autre racine importants qui ont dû être coupés). Après une période d'hésitation, il commence à produire de nouvelles feuilles. Devrait prendre une apparence vraiment intéressante dès l'année prochaine, avec plus de volume au niveau du feuillage.
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Fin octobre 2002. Quelques tailles depuis la photo précédente.
Il restera dans l'état jusqu'au printemps, où une nouvelle mise
en forme sera effectuée, laissant notamment la branche fléchée
continuer à pousser pour prendre de l'épaisseur et pour rééquilibrer
l'arbre.
La mise en forme n'est pas simple... |
mars 2003, taille importante, et pose de haubans. |
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fin juin 2003, si le feuillage se densifie, je
ne parviens toujours pas à voir clair sur la structure a lui donner...
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Ce que l'on peut dire sur le cotonéaster en Bonsai:
Arbuste de la famille des rosacées, facile à trouver sous
nos climats, le cotoneaster horizontalis se prète particulièrement
bien au traitement en bonsai.
En effet, il est peu exigeant, en matière d'arosage
comme d'exposition, il est résistant, et offre l'avantage de proposer
une floraison (fleurs blanches ou teintées de rose) et des fruits
pouvant d'ailleurs persister tout l'hiver(petites baies rouges, fort appréciées
des merles...).
L'apport d'engrais doit se faire du début de la fructification jusqu'à
l'automne.
Le cotoneaster éventail se prête par contre mal à la
mise en forme un peu travaillée de par la disposition des feuilles
de part et d'autre des branches, ainsi que de la croissance rapide. Il convient
mieux à des structures d'abre ramassés à cime étalée,
voire en cascade ou semi-cascade, plutôt qu'à des formes plus
droites. Avec certains plants, il n'est de toute façon pas envisageable
de faire autre chose qu'une cascade. Le C. Salcifolius (à feuille
de saule) a une forme plus classique permettant de le travailler en moyogi
ou shakan.
Le ligaturage est délicat également du fait de la disposition des feuilles et la croissance rapide qui risque de marquer. On pourra recourir à un haubanage pour imposer une direction à une branche.
D'autres espèces de Cotoneaster conviennent au bonsaï: C. adpressus (couché), C. apiculatus, C. congestus, C. dammeri (de Dammer), et C. microphyllus (à petite feuilles).
Exigences:
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